Il-etait-une-fois-Eternite

Journal d'une petite PS et de sacavalière

Dimanche 20 octobre 2013 à 14:21

En retard, voici le résumé de notre catastrophique séance de dimanche dernier. 

Pour faire simple, vivement les vacances pour la décoller un peu de Quirinus et lui faire comprendre que le manège est un lieu de travail. Dimanche, elle m'a clairement fait comprendre qu'elle n'avait pas envie. J'étais pourtant arrivée très zen et déterminée à rester calme quoi qu'il se passe. ON sort les loulous, on les panse, et direction le manège. Arrivé la, pas rênes longues, sans soucis. Great ma fille, maintenant que tu as bien fait le tour du manège, on va trotouiller. Oui, mais non. 
Dès que je demande le départ elle me fait trois foulées de trot puis se plaque totalement sur les épaules et me vole un départ au galop. Je reprend gentiment mes rênes et lui demande de repasser à l'allure inférieure. Accroche toi bien bipède, elle part a fond les ballons en me collant 500kg dans chaque rênes. On repasse tant bien que mal au trot, et la c'est fini, on est parti pour l'enfer. Impossible pour moi de relâcher ne serait ce qu'un peu n'importe quelle partie de mon corps sans qu'elle ne parte a fond la caisse en me prenant la main. Alors je cherche à l'occuper, tout en lui laissant bien évidement une pause rênes longues au moindre signe de bonne volonté. 
On travail sur un slalom, puis sur des plots à passer au pas et dans le calme. Rien à faire, elle est hystérique. Et sur ce coup, vraiment, je ne comprends pas pourquoi. J'en serais limite à pleurer de la voir se mettre en eau et continuer à chercher à accèlérer même quand on marche rênes longues. Elle me fait finalement deux tours de trot a peu prés corrects. Je laisse la dessus. 
Avec Raf, on décide de les laisser dans le manège pour qu'ils se roulent s'ils veulent. Après quelques minutes, Raf sort Quiqui du manège. Et la, c'est le drame. Elle me traine, et quand je dis me traine, c'est que j'ai du m'arcbouter comme une malade pour la retenir de suivre Quiqui. Dès qu'il n'est plus dans son champ de vision, panique, elle ne repsecte plus rien, devient limite dangereuse. Et ca, c'est hors de question. Alors je me fâche. Fort. J'en suis malade, mais la, elle va trop loin. On retourne à la pâture ensuite, et j'attends qu'elle ait séché pour la lâcher. Un bisou, un calin, et je repars démoralisée. Grosse remise en question. C'est de moi que vient tout ca, je le sais bien. Mais cette fois, je ne la comprend pas. Pourtant, elle ne peut pas être la véritable fautive. Aujourd'hui, on va essayer d'inverser la tendance. Des bas on en a déjà eu et on en aura encore. A moi d'être à la hauteur.
Mais je te promet, je ne baisserai pas les bras. 

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Par Axou119 le Dimanche 20 octobre 2013 à 17:49
Coucou,

Les chevaux sont comme nous, parfois ils ont leur jour sans. Il faut dire aussi qu'ils doivent s'habituer à leur nouvelle pension ceci pouvant expliquer cela. Sur le coup ce genre de choses peuvent être décourageantes, mais en prenant du recul on se rend compte que ce n'est qu'une séance parmi tant d'autres.

Bises
Ax
Par alyane le Dimanche 20 octobre 2013 à 20:03
Pas toujours évident de comprendre leurs réactions.
 

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